
A chaque élection, c’est la même rengaine, le même combat. Il y aurait ces Français actifs, éclairés, concernés par la vie politique, qui se rendent aux urnes le sourire aux lèvres, fiers d’accomplir leur « devoir de citoyen » ; et ces Français passifs, infantiles, qui subissent et qui, par leur irresponsabilité, font le jeu des extrêmes. Vous les connaissez, ces Français, à qui vous, parangons de vertu, adressez cette sentence terrible : « Si tu ne votes pas, faudra pas venir te plaindre, après. » Lire la suite